A la fin de mon roman « COÏNCIDENCE » ( paru en 2022 ) dans lequel je fais cheminer le lecteur dans un monde étrange et surprenant, tout au long de l’existence du personnage central à travers des rencontres comme des signes où se mêlent hasard et coïncidences , j’ouvrais une brèche en posant la question de l’aptitude des couples à procréer et à élever des enfants.

Mon essai publié en mars 2023 « TU PRENDS PERPETE QUAND TU FAIS UN ENFANT » est une réflexion philosophique et sociologique sur un sujet d’actualité : la parentalité est- elle indispensable au bonheur ? La nouvelle génération a-t-elle autant envie de procréer que ses aînées ? Est-il socialement et moralement possible d’admettre que les enfants peuvent apporter de profondes désillusions, voire détruire la vie de leurs parents ?

Parmi les 26 chapitres j’explore les différents aspects de ces questions en puisant dans les réflexions des précurseurs, philosophes antiques et dans celles liées à la société moderne à travers des confidences d’artistes ou bien des scènes de films , pour livrer une analyse originale et décapante . Je défends cette thèse avec parfois un certain humour, malgré la difficulté d’un sujet qui reste encore tabou, nonobstant quelques avancées.

Si depuis quelques années des ouvrages féminins ( dont certains primés) abordent le thème du non désir de procréer ou du regret d’avoir enfanté, pour la première fois, je suis le seul homme qui ose traiter ce sujet en toute liberté , face aux dogmes moraux imposés par la société et le soumettre à la réflexion du public.

Cet ouvrage est paru juste avant la journée internationale des droits de la femme, le 8 mars 2023, évènement qui a entrainé une mobilisation, une sensibilisation et le rassemblement à travers le monde ; l’occasion de débattre et de faire un bilan sur la situation des femmes.

Le titre qui peut paraitre quelque peu provocateur et dérangeant pour certains, reprend une phrase prononcée il y a quelques années par une actrice célèbre, alors qu’elle était questionnée par des journalistes de la presse écrite sur la maternité et la procréation.Elle répondit en fin d’interview : « tu prends perpète quand tu fais un enfant » . Cela résume bien l’idée de départ de cette réflexion qui sera développée tout au long de cet ouvrage, en 26 chapitres. C’est un essai qui questionne l’injonction morale et sociale à enfanter. Je vous invite à découvrir mon livre.

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